Meggie et ses parents se retrouvent enfin réunis et s’installent dans le château d’Elienor. Meggie ne peut s’empêcher de demander à Resa de lui raconter encore et encore le monde merveilleux « d’Encre » : la forêt magique sans chemin, les fées bleues, le château d’argent du Roi et le village d’Ombra.
Un jour, ce rêve devient réalité : Meggie lit les mots pour les faire vivre et se retrouve dans le « Monde d’Encre »… Elle retrouve Doigts de Poussière et le prévient que Basta et Mortola ont réussi eux aussi à revenir dans ce pays imaginaire.
Une nouvelle aventure commence pour Meggie : du danger, de la peur, de la joie et du désespoir. Ce deuxième volet de la trilogie est un vrai bonheur : on navigue d’un monde à l’autre, le nôtre où restent les parents de Meggie, et celui de l’Encre où Doigt de Poussière retrouve dix ans après les personnages qu’il a cotoyés il y a bien longtemps, ces gens qu’il avait tout fait pour oublier, sans succès. Et où se retrouve Meggie, qui, comme tout adolescente, a besoin de quitter ses parents, malgré tout l’amour qu’elle leur porte, pour faire ses expériences. Un livre sur le souvenir, la mémoire, mais aussi sur l’amour, l’amitié, et sur la magie des livres et de la littérature.
Un roman de grande qualité écrit par l’un des plus célèbres écrivains pour la jeunesse en Allemagne.
