Avec des « si », Léonie n’aurait jamais croisé la route de son agresseur dans un parking.
Avec des « si », les parents d’Eliott ne seraient pas derrière les barreaux pour le casse d’une bijouterie et le meurtre de leur concurrent.
Avec des « si », les parents de Léonie ne la soupçonneraient pas d’avoir provoqué la mort du petit garçon né du viol qui a fait d’elle un animal blessé.
Avec des « si », le petit Hugo ne serait pas élevé par son jeune frère qui fait de son mieux pour être père, mère, frère et subvenir aux besoins matériels de la famille.
Comment réparer des destins qui ont volé en éclats ? Avec sa plume très fine, Margot de Jubécourt met sous les pas de ses personnages, des voies de guérison, de pardon, par l’amour et le courage. Commencer ce roman, c’est s’engager à ne pas le poser jusqu’à la lecture de la dernière ligne.
